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      «Le P'tit Bonheur»

    Puisqu'on est au mois de Mai appelé aussi le mois du bonheur avec un Grand B, restons-y. ... Passant par les muguets au vrai Bonheur réel, et oui le bonheur des uns fait le bonheur des autres ... Le bonheur se propage par vagues au sein de cercles d’amis ou de membres d’une famille, comme une émotion contagieuse, mais pas dangereuse lol ! Et puis, les gens heureux pourraient être plus généreux en amitié, Il est au moins dans la proximité, la fréquentation de ceux qui le respire ! Le phénomène se propage partout, où l’on trouve des gens heureux !
    « Votre bonheur ne dépend pas seulement de vos choix et actions, mais aussi de ceux de gens que vous ne connaissez pas, et qui peuvent être à deux ou trois degrés de séparation de vous. ».

    Il y a des petits bonheurs partout autour de nous et en nous...il suffit de les ramasser et de les savourer doucement.

    Pour le Bonheur de tous et pour mon petit bonheur à moi, voici une petite chanson très sympa que je viens de dénicher, il était temps car elle n’est pas toute jeune... Quand on veut chanter du bonheur on ne peut pas ne pas penser à cette chanson. Elle vous procurera j’espère les mêmes sensations et le même sourire qu’elle l’a fait pour moi.

    Enjoy ! Je vous laisse savourer ce petit bonheur avec la délicieuse Dalida et en vidéo !

    «Sa voix est un pur Bonheur»  

     SVP couper le son de la musique du blog en haut à gauche

     

    Il se peut que vous aimiez aussi les paroles :

     «Le P'tit Bonheur»

     C’était un p’tit bonheur, que j’avais ramassé
    Il était tout en pleurs, sur le bord d’un fossé.
    Quand il m’a vu passer, il s’est mis à crier;
    « Monsieur, ramassez-moi, chez vous amenez-moi;
    Mes frères m’ont oublié, je suis tombé, je suis malade;
    Si vous n’me cueillez point, je vais mourir, quelle balade!
    Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure…
    Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture. »
    J’ai pris le p’tit bonheur, l’ai mis sous mes haillons;
    J’ai dit:« Faut pas qu’il meure, viens-t’en dans ma maison. »
    Alors le p’tit bonheur a fait sa guérison,
    Sur le bord de mon cœur, y’avait une chanson.
    Mes jours, mes nuits, mes pein’, mes deuils, mon mal, tout fut oublié.
    Ma vie de désoeuvré, j’avais dégoût d’la r’commencer.
    Quand il pleuvait dehors ou qu’mes amis m’faisaient des scènes,
    J’prenais mon p’tit bonheur et j’lui disais:
    C’est toi ma reine. Mon bonheur a fleuri, il a fait des bourgeons.
    C’était le paradis, ça se voyait sur mon front.
    Or un matin joli que j’sifflais ce refrain,
    Mon bonheur est parti, sans me donner la main.
    J’eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
    Lui montrer le grand trou qu’il me faisait au fond du coeur;
    Il s’en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine,
    Comme s’il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
    J’ai bien pensé mourir, de chagrin et d’ennui;
    J’avais cessé de rire, c’était toujours la nuit.
    Il me restait l’oubli; il me restait l’mépris.
    Enfin, que j’me suis dit:« Il me reste la vie. »
    J’ai repris mon bâton, mes peines, mes deuils et mes guenilles,
    Et je bats la semelle dans des pays de malheureux.
    Aujourd’hui quand je vois une fontaine ou une fille,
    Je fais un grand détour ou bien je me ferme le yeux.

      «Le P'tit Bonheur»

      «Le P'tit Bonheur» «Le P'tit Bonheur»

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