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Sept minutes...
Sept minutes
Une légende raconte qu'une femme pauvre avec un beau bébé dans les bras, passait devant une caverne. Elle entendit alors une voix mystérieuse venant de l'intérieur qui lui disait :
«....Entres et prends tout ce que tu désires, mais n'oublies pas le principal…. Seulement souviens-toi d’une chose : après que tu sois sortie, la porte se fermera à tout jamais. Cependant, profite de l'opportunité, mais n'oublies pas le principal....»
La femme entra dans la caverne et trouva beaucoup de richesses.
Fascinée par l'or et les bijoux, elle déposa l’enfant à terre et commença à amasser, anxieusement, tout ce quelle pouvait mettre dans son tablier.
La voix mystérieuse lui rappela : «Tu as seulement sept minutes»
Les sept minutes épuisées, la femme, chargée d'or et de pierres précieuses, courut hors de la caverne et la porte se ferma derrière elle...
Elle se rappela, alors, que le beau bébé était resté à l’intérieur,
mais la porte était fermée à tout jamais ....!
La richesse dure peu et le désespoir, toujours.
La même chose, parfois nous arrive.
Nous vivons dans ce temps limité qui nous ai donné, la vie est un passage, et le temps de vivre en ce monde n'est qu'un instant et toujours une voix intérieure nous rappelle :
N'oublie pas le principal ...
Le principal :.... ce sont les valeurs spirituelles,
la conscience, la vigilance, la famille, les amis, la vie...
Mais l’appât du gain, la richesse, les plaisirs matériels nous fascinent tellement que le principal reste toujours de côté.
Ainsi nous épuisons notre temps ici-bas, et nous laissons de côté l'essentiel ....
Les trésors de l'âme....
Nous ne devons jamais oublier que la vie en ce monde,
passe rapidement et que la mort arrive de façon inattendue.
Et lorsque la porte de cette vie se fermera pour nous, les lamentations ne serviront à rien.
Nous vivons dans un monde rempli de problèmes, d’angoisses, de corruption, de vandalisme, d’injustices, mais tout cela arrive parce que nous avons oublié le principal...
L’amour... La paix... L’humilité... La sincérité
La pureté, la tendresse et l’innocense des enfants
S'il te plait, sois heureux à chaque instant, à chaque moment de ta vie,
même lorsqu'un prblème apparaît.
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Commentaires
coucou
merci pour mais loin d'être la meilleur je me débrouille
pour ton texte qui ma donner des frissons
oui c'est vrai pour moi la plus grande des richesse c'est l'amour que je porte a mes enfants et petit enfants et a mon mari
la santé est une des plus grande que personne ne peux acheter avec tout l'or du monde
même les riches meurent mais eux ont de l'argent mais ne sont jamais content
moi je suis pauvre mais riche de tendresse et d'amour
pour les gens que j'aime
et si je devrait un jours gagner de l'argent avant tout c'est pour aider mes enfants les démunies et les animaux
passe une bonne soirée mon ami
bonjour HAMDIBEY
BON DIMANCHE A VOUS ET VOTRE FAMILLE
ICI LA JOURNEE COMMENCE BIEN FRAICHE
ZERO A L'ABRI EN BRETAGNE
AMICALEMENT
56MELDIX77
le Briard Breton
le monde vit par et pour l'argent et même si tout le monde sait que c'est pas le but et n'y changera rien ... au alors faut changer le monde entier ... et pour ça faudrait tous se bouger ....
bisous
Bien joli texte qui me "parle" beaucoup !
A méditer...
Je te souhaite un excellent week - end.
Bises.
Marie-
Ca me rappelle un proverbe ou un dicton ou une citation… ça dit que nous venons au monde nus et que nous en repartons de la même façon, qu’à l’heure du grand départ, nous n’emportons rien de matériel avec nous. Et qu’à l’approche de la mort, c’est bien de l’essentiel que nous nous rappelons, les autres qu’on aime, les moments partagés avec eux/elles.
Bonne journée
bisous
marie
Cette histoire est une triste réalité, elle est lue et commentée mais jamais comprise, chacun doit savoir ce qui est important pour ça vie, ce n'est pas à l'heure ou la porte se ferme qu'il faut le découvrir, mais quoi que je pense, quoi que je dise, je vois toujours les lucioles qui dansent autour des lumières de la ville, et je les vois une à une, les ailes brulées tomber à terre.
Mon père nous a quitté cette semaine, avant de s'éteindre il disait à ma mère, "qu'est ce qu'on est heureux ici tous les deux", il n'était pas riche, mais il possédait les plus belles richesses de ce monde, la paix intérieure pour le départ, il était prêt et il est parti heureux
amicalement
Claude
bonjour HAMDIBEY
CONTE OU REALITE ?
AMICALEMENT + 9 ° BRETAGNE 56
56MELDIX77
le Briard Breton
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Bonjour cher ami. Merci de ta visite habituelle qui me fait toujours grand plaisir. Bonjour chez toi. Amicalement.