• La délinquance

     

     

     

    La délinquance

    La délinquance

         Les jeunes ont tendance à être attirés aussi par des compagnons qui ont les mêmes sentiments qu'eux. A ce moment là l'incitation joue et le passage à l'acte est facilité. Il est donc indéniable que plus un jeune fréquente des délinquants, plus il a de chances de commettre lui aussi un délit. Ces camaraderies peuvent aussi se rencontrer dans le milieu scolaire où les influences y sont très fréquentes. L'influence des parents et de l'école diminue notablement tandis que les médias, les nouvelles technologies et les groupes du même âge gagnent en importance dans l'esprit des jeunes.

         On remarque une forte représentation des jeunes issus des quartiers populaires dans les milieux des délinquants, on peut donc penser que d’autres facteurs socio-économiques viennent se greffer. Le premier que nous dégageons est la pauvreté, qui se caractérise par de faibles moyens financiers de la famille qui ne permettent pas de divertissements culturels tels que le théâtre, le cinéma et la lecture qui existaient autrefois et ne le sont plus de nos jours et fait que l’adolescent se tourne parfois vers des activités illicites et violentes. Le deuxième est l’environnement social parfois précaire, par exemples lorsque dans une famille les parents sont analphabètes, ces-derniers ne peuvent aider leurs enfants dans leur scolarité ce qui peut amener certains jeunes à abandonner l’école et à se vouer à la rue.

     

    La délinquance


    Voici une petite scène de la vie quotidienne :

       - Salut Monsieur,  est ce que je peux avoir une clope ? demande un jeune vagabond.

       - Je m’excuse, je ne fume pas ! répond le jeune et beau Monsieur très bien habillé.

       -  Ah bon, c’est dommage ! Alors donne-moi de quoi m’acheter un paquet.

       - Je regrette de ne pas satisfaire ce genre de demande, désolé jeune homme. Répond le passant à l’air inoffensif.

       - Dans ce cas «clik » le bruit d’un couteau à cran d’arrêt que le vagabond d’un geste menaçant le rapproche du visage du gentleman en voulant l’intimider. Maintenant tu vas me donner tout… Le porte feuille, la montre et tes beaux souliers et je vais me taper en bonus ton  petit cul de fils à papa.

    A ce moment, d’un geste rapide comme l’éclaire le gentleman envoya le vagabond sur le sol la face contre le trottoir et le bras tordu d’où échappa le couteau que le gentleman a récupéré sans effort.

       - Le vagabond hurle de douleur, Aï aaaï… Tu me fais mal beau gosse. Je m’excuse ça va !

       - Le gentleman lâcha le bras du truand qui se leva et disparait en toute vitesse.

       - Le gentleman,  cet homme dont l'allure est cool, gentille et très assurée... C'est un adversaire pacifique et courageux.

      - « Même une poule, aussi docile soit-elle, quand elle est menacée, se débat ».

         Tout d'abord, éviter les situations dangereuses (« Le sage ne se trouve jamais sur le lieu du combat »). Le problème est de trouver l'équilibre entre l'inquiétude inutile et l'insouciance rendant vulnérable. Par ailleurs, certains quartiers ont une mauvaise réputation sans qu'il soit dangereux de s'y promener, et l'on peut se faire agresser en plein jour dans un « beau quartier ». Un autre problème avec ce concept est la culpabilisation de la victime : il est tentant a posteriori de donner des leçons et ainsi empirer le traumatisme psychologique.

         Quoi qu'il en soit, l'attitude peut en elle-même encourager ou dissuader l'agression :

    • rester courtois et ne pas répondre aux provocations, et lorsque l'on est face à une personne énervée, laisser passer l'orage sans chercher à avoir raison ;
    • pour un piéton, choisir sa position par rapport à la chaussée : à l'arrêt, être adossé à un mur pour ne pas se faire agresser (ou voler son téléphone portable) par derrière ; marcher en sens inverse de la circulation en tenant les objets volables côté immeubles, pour éviter les vols à l'arrachée par deux roues ;
    • pour l'automobiliste en zone urbaine, rester courtois, verrouiller les portières et éviter de descendre du véhicule en cas d'agression extérieure ;
    • évidemment, éviter de s'aventurer la nuit dans des zones mal éclairées et mal fréquentées…

         L'allure et la démarche  peuvent trahir la peur et le manque d'assurance, dévoile qu'il est une victime facile, vite repérer et agressé. Pour dégager des signaux dissuasifs, on peut marcher d'un pas assuré en balançant bien les bras, la tête et le regard haut. En croisant des individus « douteux », ne pas rechercher le contact oculaire, mais s'il se produit, ne pas baisser les yeux (indice de peur et de soumission) mais les détourner horizontalement (signal neutre).

          Soyez vigilant ... HamdibeyLa délinquance

     

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  • Commentaires

    15
    bisette1205 Profil de bisette1205
    Mardi 8 Janvier 2013 à 12:07

    Il y a des bandes de délinquants qui entrâinent de force des jeunes de bonnes familles et si ils n'acceptent pas, ils se font battre jusqu'à la mort. C'est très difficile, car les bandes commencent déjà au Lycée. Souvent les parents n'ont plus leur mot à dire et ils prennent peur. Je le constate dans mon quartier.

    Bisous Bisette1205


    cygne

    14
    Mercredi 27 Juin 2012 à 15:24

    passe te souhaiter bon mercredi bisouu

    13
    Mercredi 27 Juin 2012 à 09:57

    Ce sujet fait et fera couler beaucoup d'encre hélas...

    je te souhaite une bonne journée

    bisous

    marie

    12
    Mercredi 27 Juin 2012 à 09:20

    bisousssssssssssssss

    11
    Mercredi 27 Juin 2012 à 08:09

     
    déjà la moitié de la semaine, et il est annoncé du beau temps en Vendée.
    bonne journée

    10
    Mardi 26 Juin 2012 à 15:19

    passse te souhaiter une excelente journee bisou

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    9
    Mardi 26 Juin 2012 à 07:43
    kelly..

    je suis d'accord avec penseurdu jour, la pauvreté ou la misère,n'est qu'une excuse des médias pour minimiser, je crois que plus il y a de répression moins il y a de violence, il suffit de voir en cote d'ivoire ou en chine, 2 endroits que je connais bien
    comme hier matin, temps gris , une petite bruine, en vendée c'est pas encore l'été.
    bonne journée

    8
    Mardi 26 Juin 2012 à 05:49

    Bonjour,
    Je m'absente quelques jours, mais des articles quotidiens sont programmés.
    Bon mardi et à bientôt.
    Bisoux

    7
    Mardi 26 Juin 2012 à 00:55

    e connais ce milieu

    ne jamais montrer sa peur !

    bonne journée et bons conseils

    a++

     

    6
    Lundi 25 Juin 2012 à 22:23

    Sages conseils mais des fois cela ne suffit pas, à Nice,il y a beaucoup de violence, mes fils se sont fait frapper plusieurs fois, une fois ça aurait pu être très grave si des passants courageux ne s'étaient pas interposés, je n'ai jamais su qui ils étaient, ils sont partis avant que la police n'arrive, j'aurais bien voulu les remercier, Je me demande dans quel état mon fils aurait été sans eux, handicapé voire mort...Quelle horreur ! ça a commencé par donne moi 10 euros pour lui, ils étaient à 8 contr 1 !

    5
    Chez Montana Profil de Chez Montana
    Lundi 25 Juin 2012 à 11:26

    La délinquance il n'y a aucun pardon ce n'est jamais que du manque de respect de l'autre ce n'est jamais que faire du mal a une autre personne ou démolir par plaisir ou pour s'approprier  un bien sans se fatiguer a se lever le matin pour aller travailler 

    Passe une bonne journée

    Amitié a tous et a toutes

    Francis

    4
    Lundi 25 Juin 2012 à 09:58

    comme d'hab

    bonne journée tout de même

    bisousssssssssssssss

    3
    Lundi 25 Juin 2012 à 08:22
    kelly..

    je trouve que la violence est de plus en plus présente, surtout chez les jeunes, hier encore un jeune de 13a tué par autre de 16ans, ou 6 jeunes qui violent une ado. je trouve que la répression n'est pas a la hauteur.
    cette nuit il a plu,mais le soleil en a profité pour s'éclipser.
    bon début de semaine

     

    2
    Lundi 25 Juin 2012 à 08:07

    Il y a un point qui m'interpelle dans ton discour, d'après toi, la pauvreté et le manque d'activités culturelles seraient un des éléments favorisant la délinquance, alors, moi issu de milieu ouvrier, avec des parents qui suaient sang et eau juste pour pouvoir nous nourrir et à peine nous vêtir, pas de distraction à nous payer, nous étions obligé de les inventer, et je ne connais aucun de mes camarades  qui soit devenu délinquant, mais en ce temps là, aucun de nous n'avions de télévision et personne ne nous disait que nous pouvions devenir riche à ne rien faire, il y a un problème de société certe, mais il n'est pas là ou on croit

    amicalement

    Claude

    1
    Lundi 25 Juin 2012 à 06:41

    Moi, ce qui m'impressionne dans la délinquance, c'est le nom des délinquants ...

    No comment.

    Bon début de semaine.
    Bisoux


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